Quatrièmes de couverture

 

FrnLe mois de novembre s’en va (déjà…) finissant

Il nous faut, d’une revue de presse

Vous révéler quelques parutions passées entre nos mains

A défaut de nos yeux

 

Parutions et arguments extraits des sites des éditeurs:

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« Regarde bien les arbres. Ils savent, comme nous, qu’ils doivent mourir un jour, mais ils ne pensent qu’à une chose : grandir, monter le plus haut possible. »

Depuis son enfance, Bastien a toujours vécu dans la forêt. Pour lui, les arbres vivent, parlent,
rêvent. Ils veulent renouer avec le ciel. Il en connaît tous les mystères, tous les sortilèges, qu’il révèlera à sa petite-fille gravement malade, venue se réfugier auprès de lui. Pour Bastien, elle est comme une forêt fracassée par l’orage. Mais il ne doute pas de sa guérison s’il se bat à ses côtés et partage ses secrets.

Dans ces pages qu’irriguent la magie et la force des arbres, c’est tout le sens de la vie humaine
que pose Christian Signol. Traversées du souffle de la Grande Histoire, des forêts blessées par
les tempêtes et des légendes immémoriales, elles révèlent un monde de beauté, inconnu et
superbe, au pouvoir salvateur.

Au coeur des forêts, Christian Signol, roman, Albin Michel, oct 2011, 316 pp, 21,5 €

 

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 » Ce livre accompagne son nouvel album éponyme (XIII BIS Records/Warner) et ses cinquante ans de carrière qui seront aussi l’occasion d’une série de concerts, notamment au Casino de Paris le 21 novembre 2011
Après l’important succès de La Maison d’en face par Nicoletta, les éditions Florent Massot proposent Mister D, livre d’entretiens entre l’un des chanteurs les plus apprécié du public et Sam Bernett, animateur vedette de RTL et Europe 1 (auteur notamment des biographies de Jim Morrison, de Johnny Hallyday, et de Eddy Mitchell). Cet ouvrage révèle le vrai Dick Rivers et offre un panorama sans langue de bois du monde musical et du PAF ainsi que les portraits très émouvants de ses amis Francis Cabrel, Coluche ou Alain Bashung.
Enigme pour certains, caricature pour d’autres, Hervé Fornéri, né à Nice le 24 avril 1946, a créé Dick Rivers le 24 avril 1961, le jour de ses quinze ans. Cinquante ans au service du rock and roll, des Chats Sauvages à Mister D. Arrivé troisième dans l’ordre d’apparition sur la scène rock française en 1961 après Johnny Hallyday et Eddy Mitchell, Dick conservera cette image « du troisième » durant toute sa carrière, y compris auprès des journalistes, quel que soit le classement de ses succès dans les hit-parades. Il a souffert de ces longs moments sans exposition et en souffre encore. Il raconte, sans amertume.
Car Dick Rivers est hors système, il n’est jamais rentré dans le moule du showbiz français et des habitudes de ses homologues. Dick Rivers n’a pas de clan ou de producteurs vedettes. Il trace son chemin en solitaire. Fidèle au rock et à ses choix musicaux – sans concession – il n’est ni auteur ni compositeur : c’est un interprète fier de l’être. Dick dépend donc des chansons qu’on lui propose. Les passages à vide de sa carrière n’ont pas été prétextes à sauter sur les modes et les tendances.

On découvre ici un Dick Rivers solide et sincère ; mais aussi fragile et frustré, pudique et honnête, égocentrique et agaçant, égoïste et généreux, tendre et macho. Les entretiens évoquent sans retenue sa carrière, sa vie privée, ses femmes et amours, des erreurs, des défauts, des ratages et des embellies, du passé et de l’avenir. Il se livre sincèrement au jeu de la vérité. »

Dick Rivers, Mister D – Entretiens avec Sam Bernett, éd. Florent Masson, oct. 2011,  192 pp, 19,9 €

 

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les_dolce_01.jpg« Les aventures de la dernière famille de magiciens au monde.
New York, 2011. Un groupe de sorciers, dirigeant un trust financier et immobilier qui entend s’approprier les sous-sols de la planète, développe l’idéologie d’un âge d’or à venir pour l’usage exclusif d’une élite. Ce projet impitoyable suppose la mise en servage de l’humanité ordinaire. L’humanité en question, imbue de technologie, de fiction bas de gamme et de consommation effrénée, est loin de se douter de la menace qui la guette. Et que ferait-elle, de toute façon, face aux pouvoirs occultes et financiers accumulés par ses ennemis ?
Seuls des êtres très particuliers, dont l’existence remonte à la nuit des temps, seraient en mesure de s’opposer au sombre dessein de la Fondation 18 : ce sont les magiciens. Manque de chance, persécutés par les sorciers des siècles durant, alors même que leur réunion est nécessaire pour déployer un pouvoir égal à celui de leurs ennemis, ils ne sont plus qu’une poignée de par le monde. Cinq exactement. Une famille : les Dolce.

Cette lignée de magiciens, pour échapper à la traque dont elle se sait victime, tente depuis des années de se fondre dans le paysage urbain et vit pour l’heure dans une bicoque décrépite de Brooklyn. Le grand-père est à la retraite, le père et la mère exercent des professions passe-partout et les adolescents vont à l’école. C‘est la fin d’un monde : ne restent, du savoir et de la sagesse séculaires dont la famille était dépositaire, qu’une identité et un roman familiaux problématiques – les enfants préféreraient en effet avoir une vie comme les autres –, et des bribes lacunaires, vu que l’aïeul, véritable bible des âges passés, n’a plus toute sa tête.

Ainsi les Dolce vivoteraient-ils encore, à l’abri et inconscients des enjeux planétaires qu’engage leur existence, si la cadette, Léamédia, n’avait fait un caprice le jour de ses onze ans et utilisé ses pouvoirs magiques à mauvais escient. Au terme d’un rituel initiatique accompli par son aïeul, la voici capable de convoquer le flux magique des quatre autres membres de la famille et d’agir à distance sur la matière. Son premier tour, malheureusement, provoque dans New York un gigantesque happening, immédiatement relayé sur les télévisions et les réseaux sociaux. La famille doit dès lors décamper sans tarder, reprendre la route, l’errance, sans autre but que de se faire oublier et de survivre en se terrant. »

Les Dolce. La route des magiciens Frédéric Petitjean, tome 1, Ed. Don Quichotte, oct 2011, 538 pp, 19,9 €

 

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Diane Rauscher-Kennedy, née en Angleterre de parents Anglo-Saxons et d’horizons aussi différents que célèbres, a vécu son enfance au sein d’une famille aristocratique qui vivait d’une façon déjantée. Et puis un jour, tout bascule ! Son univers s’effondre et elle doit faire face à la réalité d’une nouvelle vie difficile, mais qui lui permettra de réaliser qu’elle a tant gagné en perdant tout…

Note de l’éditeur

Les Carnets d’une bourgeoise déchue nous plonge dans l’aventure incroyable de Diane Rauscher-Kennedy, les histoires farfelues sur sa famille, sa vie de femme au foyer et son manque total de respect des bienséances et des codes des grandes familles. Armée de sa plume humoristique, elle nous concocte un récit d’une vie de grandeur matérielle mais aussi de profonde misère morale et sentimentale… Un récit autobiographique qui lui permet aussi de balancer quelques vérités bien dérangeantes sur un ton malicieux…

L’auteur
Épouse, mère et femme d’intérieur pendant plus de 40 ans elle voit sa vie basculer à 60 ans et en 24 heures chrono ! Elle devient alors artiste peintre, spécialiste des catastrophes les plus inimaginables… Particulièrement culottée et avec un sarcasme décapant, elle raconte dans ses mémoires son enfance de conte de fée et les incroyables tribulations auxquelles elle a su faire face avec humour et ironie.

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« L’affaire Flamenco, dont l’intrigue se déroule entre Paris, Sichuan et Dakar, raconte l’histoire d’un lieutenant français d’origine sénégalaise, Mbaye, chargé de mener l’enquête sur le meurtre d’une jeune danseuse de Flamenco retrouvée sans vie sur le pas de sa porte. Une affaire à première vue assez banale, d’autant plus que le copain de celle-ci s’est mystérieusement évaporé. Pourtant, les premiers indices semblent conduire aux plus hautes instances de l’Etat…

Note de l’éditeur
À travers ce roman, l’auteur nous dépeint sans réserve une toile réaliste de la société française. Une intrigue parfaitement ficelée, un « colonel » controversé, des agents secrets méticuleux, un lieutenant de police ordinaire, des personnages bien campés et un style percutant font de ce roman un excellent polar dont le rythme est habilement soutenu.
L’affaire Flamenco est plus qu’un simple roman policier, il est aussi une invitation au voyage au pays de la Téranga et à la découverte de la culture sénégalaise. » 
 
L’affaire Flamenco. une tache sur le tee-shirt, Richard Joffo, thriller, Phoenix Press International, 222 pp, 19 €
 
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francesca_01.jpgRome, été 1492. Une époque troublée pour la chrétienté, qui s’est rendue coupable quelques mois auparavant de promulguer l’édit décrétant l’expulsion de tous les Juifs d’Espagne. Mais la cité éternelle s’émeut moins de leur sort que de celui du pape, Innocent VIII, dont on dit qu’il est mourant. Cette nouvelle attise pourtant davantage les ambitions qu’elle ne suscite la prière.
Au service de la famille des Borgia depuis toujours, Francesca apprend la mort de son père (l’empoisonneur attitré de la famille) dans des circonstances douteuses. Commence alors pour elle une quête de vengeance, qui la pousse à prendre la suite de son père.
Ses recherches vont lui faire découvrir que l’expulsion des Juifs d’Espagne n’est que le prélude à des actes plus monstrueux encore et que le pape, à la santé déclinante, compte bien autoriser depuis le Vatican. Il s’agit à présent de le neutraliser, tout en aidant Rodrigo Borgia, son maître, à être élu pape par le conclave.
 
 

Francesca. Empoisonneuse à la cour des Borgia, Sara Poole, roman, ma éditions, novembre 2011, 416 pp, 19,9 €