Pensée pour un premier novembre

]’ aime que les morts fassent partie de nos vies de toutes les manières possibles, drôles et folles. Il faut entretenir le lien avec ceux qu’on ne voit plus, alors pourquoi ne pourrait-on pas lire un roman, à haute voix, à une urne pleine de cendres.

Avec toutes mes sympathies, Olivia de Lamberterie, récit, Ed. Stock,  août 2018,  254 pp

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