Père et fils

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En ce  jour de fête des pères (en France, car en Belgique,  c’était le week-end passé), penchons-nous sur l’argument du deuxième roman de Cristina Alger, tel que nous fournit l’éditeur :

 » Charlie Goldwyn est avocat dans un prestigieux cabinet new yorkais. Depuis la mort de sa femme, deux ans plus tôt, il se noie dans le travail, et néglige son fils, Caleb, un petit garçon de cinq ans. Sa vie bascule le jour où, suite à un banal écart de conduite, sa boîte le licencie.
Ce revirement brutal qui voit s’effondrer ses ambitions professionnelles le pousse à se tourner vers Caleb. Au contact de son fils, il prend conscience des priorités de la vie. Et, pour la première fois, se découvre le père qu’il se croyait incapable d’être. »

Père et fils, Cristina Alger, roman traduit de l’anglais (USA) par Nathalie Cunnington, Ed Albin Michel, juin  2017,  384 pp

 

Issue d’une grande famille de la finance new yorkaise (son père est mort le 11.9.2001) , l’auteur est diplômée de l’université d’Harvard et de la faculté de droit de New York. On peut en déduire qu’elle connaît bien le milieu décrit…