A demi-maux

Considérations mathématiques:

Préférez-vous avoir deux enfants à moitié grippés à l’un, complètement ?

Le premier cas présente l’avantage indéniable qu’il n’entame pas – encore-  votre liberté  : vous pouvez les déposer à l’école, les confiant à la grippale protection de Saint Oscillo-Coccinum…

Apolline, Les pensées maternelles indignes du lundi.

2 commentaires sur “A demi-maux

  • Anaïs 25 janvier 2009 at 10 h 53 min

    ma question du jour est la suivante : vaut-il mieux avoir une seule narine totalement bouchée, ou les deux à moitié bouchée ?
    question idiote, puisque j’ai les deux… totalement bouchées
    (bon j’arrête de divaguer, je dois être fiévreuse)

  • Apolline Elter 25 janvier 2009 at 11 h 12 min

    Votre cas est intéressant, chère Anaïs et, à dire cru, m’en bouche un coin. Sachez toutefois, qu’à trop peser les maux, on se retrouve parfois avec avec une famille décimée: les deux demi- malades de la semaine écoulée – oui, elle ne fut pas bouchée – se sont mutés en deux malades et demi…, congestionnant de la sorte toutes tentative d’échappée…

    Un seul conseil, Anaïs, nez-itez pas à vous soig-nez!!!

    Bode chance…

    Apollide E.

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