Samedi très tard soir, tandis que j’écoutais béate, yeux mi-clos – et même totalement clos -, dans le train qui reliait la Gare centrale à la Gare du Nord de Bruxelles le récit fabuleux de l’aventure aérospatiale de Thomas Pesquet – je me fis voler mon sac à mon insu total, fatal et pour le moins contrariant.
Sidérant (je n’ai pas dit sidéral)
Rien vu (forcément) ni même entendu, senti, humé, happé…..
Le sac s’était évaporé
Quelle dextérité
Quelle nuisance aussi de penser qu’il faut être tout le temps vigilant .. pour conserver son bien
Et tout ce qu’il contient d’indispensable à son propriétaire; nullement à celui/ celle qui l’a usurpé…
Puisse la SNCB nous offrir davantage de sécurité et, partant, de sérénité
Quant au récit de Thomas Pesquet, nous en reparlerons, car il mérite à tout le moins,… cinq étoiles et nous invite à ne pas prendre nos contrariétés avec trop de …gravité
Apolline Elter
Ma vie sans gravité, Thomas Pesquet, récit, Ed. Flammarion, oct.2023, 416 pp – Ed. Gallimard / Ecoutez lire, texte intégral lu par Loïc Corbery, à paraître en janvier 2024 – durée d’écoute 11h49 min