Mar-dites-nous Emily Dickinson

Nourris du focus pointé par Les ombres blanches ( Domnique Fortier, Ed. Grasset,  voir billet sur le site) sur la dévolution posthume de l’oeuvre poétique d’Emily Dickinson ( 1830-1886), nous avons parcouru avec intérêt une partie de sa correspondance, via le prisme des éditions de Lorma.

Structuré en trois parties, dûment annoté, le recueil révèle tant la volonté d’indépendance de la grande poétesse américaine, une certaine rébellion vis-à-vis de sa famille et des accents « camille claudéliens » – qu’un travail littéraire d’ampleur surgi du volcan de ses sentiments.  Des lettres d’amour éthérées sont adressées au juge Otis Phillips Lord, truffées des majuscules si présentes à sa plume

A Elter

Dickinson, Un volcan silencieux, la vie. Lettres d’une solitaire amoureuse, Lettres choisies et présentées par Marco Federici Solari – trad. (lettres) Margaux Bricler, (apparats), Delphine Ménage, Ed. de L’Orma, nov.2020, 64 pp

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *