Ce que nous confions au vent

« Ainsi naissait la joie. Elle jaillissait d’un mot restitué qui toujours lui rappellerait l’avant et scellerait l’après »

« La cabine du vent »

Elle existe, cette cabine téléphonique, reliée, si l’on peut dire, à l’Au-delà.

Née d’une initiative privée, installée dans le village côtier d’Otsushi, au Nord du Japon,  elle permet aux nombreux endeuillés de la catastrophe de Fukushima, de communiquer avec les défunts qui leur ont été arrachés si violemment*

De cette belle entreprise, la romancière crée une trame narrative, qui permet à YUI, jeune femme doublement marquée par le décès conjoint de sa maman et de sa fillette de 6 ans de leur dire au revoir

Un roman lumineux dont je vous conseille  l’écoute audiolivresque

A Elter

Ce que nous confions au vent, Laura Imai Messina, roman traduit de l’talien par Marianne Faurobert,  Ed Albin Michel, mai 2021, Audiolib, septembre 2021, texte intégral lu par Lu par Clara Brajtman, 1 CD MP3 – durée d’écoute 5h01

Lien utile: https://www.francetvinfo.fr/monde/japon/fukushima/japon-afukushima-une-cabine-telephonique-pour-parler-aux-morts_4328765.html

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