Résidente privilégiée

(_]  J’ai aimé et j’aime Camus parce que, pris dans ses contradictions qu’il était  le premier è dénoncer, même dans les moments de diversion sans lesquels aucun homme ne peut subsister, il  a employé toute  son attention  à ne jamais se laisser distraire de cette veine vive qu’il suivait à même la surface de la pierre sans jamais s’en détourner. » 

Résidente privilégiée, Maria Casarès, récit, Ed Fayard, 1980, 432 pp

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *