Si elle s’empare du personnage dumasien de Milady ( Les Trois Mousquetaires) dans son nouveau roman et la réhabilite, Adelaïde de Clermont-Tonnerre n’en voue pas moins une admiration pérenne au grand écrivain qui a enflammé sa prime adolescence:
« J’admire Alexandre Dumas. Le père du roman, le précurseur de la série, le quarteron des lettres françaises. Ses excès me font sourire comme son goût du théâtre, son emphase, sa rouerie. Ses histoires de gros sous et de pierres précieuses, son cœur d’artichaut, ses grands mots et ses grands sentiments. Sa gourmandise aussi. Cette faim de tout dévorait Alexandre Dumas. «
Je voulais vivre, Adélaïde de Clermont-Tonnerre, roman, Ed. Grasset, août 2C025, 480 pp

 
    

































































































































































