Quatrième de couverture (1/2)

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Chers estimés lecteurs, 

Après une rentrée de janvier calmette, les parutions se suivent, s’enchaînent et s’empilent, affolant mon temps de lecture, de toutes celles que je n’ai pas (encore) eu l’occasion d’effectuer.

Je vous livre déjà l’argument (issu des sites de leurs éditeurs respectifs) de ces publications passées en mes mains, à défaut de mes yeux

 

 

Un lit pour deux« Quel bonheur, la nuit venue, de se réfugier sous la couette ! À deux c’est encore mieux… Quoique…
Passée la séquence aveugle et sourde de la passion, celui ou celle qui chaque soir se glisse à la même place peut se révéler un redoutable ronfleur, un lutteur sournois jamais fatigué de tirer la couverture à lui ou, pire encore, un monstre aux pieds froids.
Conjugal – forcément conjugal – le lit fut longtemps le lieu consacré des moments essentiels d’une vie. On y naissait, on y mourait entouré des siens. Il révèle aujourd’hui les attentes contradictoires du couple qui aspire à un bien-être personnel sans renoncer pour autant à l’amour fusionnel. Comment trouver la bonne distance ?
Comment lire ou se relever à son gré sans gêner l’autre ? Le choix des chambres séparées est souvent mal compris de l’entourage et même de celui ou celle qui en subit la décision.
Spécialiste de l’intime et du quotidien, l’auteur fouille dans le secret des alcôves pour répondre à ces questions qui, pour être traitées ici avec légèreté, n’en suscitent pas moins une réflexion en profondeur. »

Un lit pour deux, La tendre guerre, Jean-Claude Kaufmann, essai, Ed. JcLattès, janvier 2015, 284 pp

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Quatrième de couverture (1/2)Dans la lignée de La Fenêtre panoramique, de Richard Yates, un livre culte, immense best-seller d’après-guerre aux États-Unis, oublié ensuite car jugé trop bourgeois par la vague hippie, et enfin redécouvert dans les années 80 comme une oeuvre majeure des lettres américaines. Traduit en plus de vingt-cinq langues, adapté au cinéma en 1956 avec Gregory Peck dans le rôle-titre, large source d’inspiration de la série Mad Men,L’Homme au complet gris retrace l’émouvante trajectoire d’un homme tiraillé entre son amour pour sa famille et son ambition sociale, dans le Manhattan des années 50. Une importante redécouverte littéraire.

L’homme au complet gris, Sloan Wilson, roman (1955) traduit de l’américain par Jean Rosenthal,, Ed. Belfond Vintage, janvier 2015, 464 pp

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 L'hiver nous demandera ce qu'on a fait l'été En revenant, quarante ans après, en Slovaquie sur les traces d’un amour de jeunesse, alors qu’il était stagiaire d’ambassade à l’époque du Printemps de Prague et de Mai 68, le narrateur s’immerge dans les fantasmagories du monde rom au coeur des paysages idylliques du «paradis slovaque» et découvre, à travers une plongée stupéfiante dans les archives de la Sécurité d’Etat, la terrible (…)tB, alors l’équivalent tchécoslovaque du KGB, les secrets d’une relation qui n’a pas fini de bouleverser sa vie. Un récit envoûtant dont la poésie, la musique des mots et la profonde humanité évoquent une symphonie lumineuse et tragique.

L’hiver nous demandera ce qu’on a fait l’été, Henry Cuny, roman, Ed. du Rocher, mars 2015, 443 pp

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 La Fourmi assassine - Patrice Pluyette

Odile Chassevent vient de disparaître. Son compagnon Francis Lecamier ferait un bon coupable mais c’est oublier un peu vite Legousse, éleveur de porcs sans activité qui vit avec sa vieille mère dans une ferme isolée.

Lorsque l’inspecteur Rivière débarque, les indices font défaut. Des premiers aveux obtenus conduisent à une fausse piste : le mystère reste entier. Une hypothèse pourrait bien le résoudre, ce n’est pourtant qu’une hypothèse.

La Fourmi assassine, Patrice Pluyette,roman, Ed. Seuil, janvier 2015, 96 pp

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 Le Démon avance toujours en ligne droite

N’ayant connu ni son grand-père ni son père, mystérieusement disparu alors qu’il avait deux ans à peine, David décide à quarante ans d’assembler les pièces de son puzzle familial en se rendant à Lisbonne où ce dernier s’est enfui.

Hanté par une enfance prisonnière du ressentiment maternel, d’une éducation faite de mensonges, d’omissions et d’anathèmes sur les hommes qui boivent et qui finissent clochards, il n’aura de cesse de nourrir la peur de reproduire leur destin au fil d’une dérive en forme de perdition aussi vertigineuse que fascinante.

 Après Incident de personne (2010) et Muette (2013) Le démon avance toujours en ligne droite explore la quête erratique, entre réel et fantastique, d’un homme piégé par son héritage.

Le démon avance toujours en ligne droite, Eric Pessan, roman, Ed. Albin Michel, janvier 2015, 315 pp

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La Guerre d'hiver

Au premier abord, la famille Paul incarne le rêve de la classe moyenne scandinave : célèbre dans les années 90 pour son étude sur la vie sexuelle des Finlandais, Max est un sociologue réputé. Avec sa femme, Katriina, D.R.H. dans un hôpital, ils vivent dans un appartement spacieux au cœur d’Helsinki. Mais à y regarder de plus près, le tableau est loin d’être idyllique : Max a perdu bien des illusions et désespère de pouvoir terminer un jour son nouveau livre. Son couple bat de l’aile, et ses filles – l’une à Londres, l’autre à Helsinki – mènent leurs vies sans lui. Alors, quand l’une de ses anciennes étudiantes devenue journaliste lui propose de l’interviewer pour son soixantième anniversaire, il accepte sans hésiter… ni imaginer les conséquences de cet entretien sur sa vie et celle des siens.

À mi-chemin entre Richard Yates et Jonathan Franzen, mais avec un charme résolument nordique, le Finlandais Philip Teir explore dans ce premier roman à l’ironie mordante les questions de la jeunesse, des rencontres et des ruptures, de l’amour et de la perte, et de sa résurrection au moment où on l’attend le moins.

La guerre d’hiver, Philip Teir, roman conjugal traduit du suédois (Finlande) par Rémi Cassaigne, Ed. Albin Michel, janvier 2015, 378 pp

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 Marion, 13 ans pour toujours -

« Marion, ma fille, le 13 février 2013, tu t’es suicidée à 13 ans, en te pendant à un foulard, dans ta chambre.

Sous ton lit en hauteur, on a trouvé ton téléphone portable, attaché au bout d’un fil, pendu lui aussi pour couper symboliquement la parole à ceux qui, au collège, te torturaient à coups d’insultes et de menaces.

J’écris ce livre pour te rendre hommage, pour dire ma nostalgie d’un futur que tu ne partageras pas avec moi, avec nous.

J’écris ce livre pour que chacun tire les leçons de ta mort. Pour que les parents évitent à leurs enfants de devenir des victimes, comme toi, ou des bourreaux, comme ceux qui t’ont fait perdre pied. Pour que les administrations scolaires s’évertuent à la vigilance, à l’écoute et à la bienveillance à l’égard des enfants en souffrance.

J’écris ce livre pour qu’on prenne au sérieux le phénomène du harcèlement scolaire.

J’écris ce livre pour que plus jamais un enfant n’ait envie de pendre son téléphone, ni de suspendre à jamais sa vie. »

Un récit recueilli par Jacqueline Remy.

Marion, 13 ans pour toujours, Nora Fraisse, récit recueilli par Jacqueline Remy, Ed. Calmann-Lévy, janvier 2015, 192 pp

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Étranger dans le mariageAprès Où suis-je dans cette histoire, Emir Kusturica nous livre Étranger dans le mariage, un recueil de six nouvelles pleines de fantaisie et de fabuleux portraits.
En Bosnie-Herzégovine, des années 1970 où règne l’influence du parti, jusqu’à l’éclatement de la Yougoslavie, les nouvelles nous racontent la vie de trois jeunes hommes, Dragan, Aleksa et Kosta. Des histoires de famille, dans lesquelles parents et enfants s’affrontent, se protègent et s’aiment. Des histoires de jeunes gens, débordants d’idéaux, brusquement confrontés au monde des adultes dont ils cherchent à s’affranchir. Des histoires d’amour, parfois impossibles.

On retrouve ici l’univers typique d’Emir Kusturica, où fantaisie et noirceur se côtoient toujours dans ce qu’il appelle un « réalisme magique ». Emprunt des souvenirs de l’auteur, profondément marqué par les événements de son pays, ce recueil révèle des tranches de vie de personnages hauts en couleur, tantôt burlesques tantôt tragiques.

Etranger dans le mariage, Emir Kusturica, recueil de nouvelles traduites du serbo-croate par Alain Cappon, Ed JcLattès, janvier 2015, 284 pp

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Quatrième de couverture (1/2)Dans la famille Soleyman, le tumulte semble toujours régner. Famille juive chassée de Téhéran quelques décennies auparavant, elle pense enfin avoir trouvé le répit en s’exilant à Los Angeles. Or, un démon de leur passé, connu sous le nom de Fils de Raphaël, va venir chambouler leur premier semblant d’équilibre. Enfant illégitime, son existence même est une ombre qui plane au-dessus du clan des Soleyman, et son arrivée aux Etats-Unis fait frémir toute la communauté juive iranienne. Lorsque des années plus tard, le Fils de Raphaël, devenu un grand businessman, est retrouvé assassiné dans sa voiture, une longue liste de suspects se dessine. Est-ce son épouse traitée avec si peu d’égard; un des nombreux membres de la famille Soleyman en quête de vengeance; des investisseurs qu’il aurait escroqués dans un montage financier frauduleux; ou peut-être même son comptable et confident de toujours ?

Bons baisers de Téhéran, Gina B. Nahai, roman traduit de l’anglais (USA) par Pascale Haas, Ed.Préludes, mars 2015, 640 pp

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Quatrième de couverture (1/2)Peintre de formation, Léonore a cessé de peindre pour enseigner. À plus de quarante ans, elle n’a pas créé la grande œuvre dont elle rêvait, n’a ni famille ni enfant. Du jour au lendemain, elle décide de s’envoler vers le Portugal, le pays de José, son premier amour, disparu tragiquement à dix-neuf ans, disparition dont elle se sent encore aujourd’hui responsable. 
Dans ce récit raconté au jour le jour, Carole Fives parvient à retranscrire, avec humour et sensibilité, la fragilité de nos existences, tout en évoquant, avec beaucoup de pudeur, le destin ordinaire d’une famille d’immigrés, s’installant en France dans les années soixante-dix.

C’est dimanche et je n’y suis pour rien, Carole Fives, roman, Ed. Gallimard, janvier 2015, 160 pp

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Titiou Lecoq - La Théorie de la tartine.En 2006, lorsque Marianne découvre sur le net une sextape postée par son ex, elle ne trouve pour l’aider qu’un hacker immature et un journaliste visionnaire qui croit qu’Internet va transformer le monde. Dix ans et les chocs de la jeunesse (enfants, travail, amours) plus tard, que deviennent notre ex-étudiante blogueuse, le jeune pirate et l’homme de presse idéaliste ? Internet a tout bousculé…

La Théorie de la tartine, Titiou Lecoq, roman, Ed. Au Diable Vauvert, mars 2015, 446 pp

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Bruxelles Piano-bar - Juan Carlos Mondragon

À Montevideo, Leopoldo Cea vit un moment difficile : son père vient de mourir, sa compagne l’a quitté et son travail de journaliste culturel lui pèse. En cette année 1992, le climat de l’Uruguay est à la violence. La dictature a laissé derrière elle des résidus de fascisme, et le Mal s’étend à la manière d’une métastase sociale. Alors que beaucoup de ses compatriotes ont choisi l’exil, Leopoldo, lui, décide de fuir en restant sur place et en inventant deux stratégies de survie : s’installer mentalement à Bruxelles et boire du champagne en solitaire. Entre la capitale de l’Uruguay et celle de la Belgique naît alors une « zone libérée » par l’imagination, où tout devient possible : un chat qui parle tient compagnie à Leopoldo, lequel agrémente son quotidien de la musique d’Antonio Carlos Jobim, de films jamais tournés et de récitals de poésie. D’improbables histoires ouvrent alors les portes de mondes nouveaux et entraînent le lecteur de l’autre côté du miroir.
 
Réflexion sur la crise que traverse le monde d’aujourd’hui, Bruxelles piano-bar est aussi un superbe plaidoyer pour la puissance de l’imaginaire au service du roman.
 
 
Bruxelles piano-bar, Juan Carlos Mondragon, roman traduit de l’espagnol (Uruguay) par Gabriel Iaculli et Annie Morvan, Ed Seuil, janvier 2015, 416 pp
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Gabriel, auteur à succès, se rend à Bruxelles pour la promotion de son nouveau roman, Lignes brisées. À cette occasion, il revoit son amour de jeunesse, Salomé, désormais parlementaire européenne. Depuis leur rupture, Gabriel n’a de cesse de vouloir la reconquérir. Sauront-ils combler les années de silence ? L’amour, nourri de souvenirs et de chassés-croisés, a-t-il une chance de renaître ?
Nostalgie de l’adolescence, ironie du destin, Harold Cobert revisite le thème des rendez-vous manqués. L’histoire inachevée de Gabriel et Salomé, éducation sentimentale d’un siècle désabusé, se déploie au fil des pages de ce roman en abyme.
 
Lignes brisées, Harold Cobert, roman, Ed. Héoïse d’Ormesson, mars 2015, 128 pp
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Un été à BluepointArthur Wise est devenu en peu de temps l’un des plus puissants avocats des États-Unis. Fort de cette ascension fulgurante, il s’offre une maison à Bluepoint, non loin de Cape Cod, à proximité de celle de son associé, Robert Ashley.

C’est là, durant l’été 1952, que Hilton, son fils de dix-sept ans, se lie d’amitié avec Lem Dawson, le « boy de couleur » chargé de l’entretien des lieux et du courrier. Bien que sensible à la discrimination – les Wise sont juifs –, son père voit d’un mauvais œil cette complicité. Mais ce même été, lorsque l’adolescent tombe amoureux de Savannah, la nièce de Lem, il ne sait pas encore que l’innocente idylle va tourner au drame, lui révélant la face cachée de son père et signant pour ainsi dire l’arrêt de mort de Lem.

Des années plus tard, hanté par le souvenir de la jeune fille qu’il n’a jamais oubliée, Hilly part à sa recherche. Mais la culpabilité et les bonnes intentions peuvent-elles racheter le passé ?

Après un recueil de nouvelles très remarqué, Le livre de la vie, Stuart Nadler retrace un demi-siècle d’Histoire américaine dans ce premier roman qui n’est pas sans rappeler l’atmosphère Gatsby le magnifique et sa promesse du rêve américain.

Un été à Bluepoint, Stuart Nadler, roman traduit de l’américain par Bernard Cohen, Ed. Albin Michel, janvier 2015, 432 pp

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Résultat de recherche d'images pour "nous ne sommes pas nous-mêmes"Une révélation littéraire comme on en voit rarement. Épique, tendre, cruelle, traversant toute la deuxième moitié du xxe siècle, une oeuvre bouleversante qui, à travers le désir d’ascension d’une femme, interroge l’American Dream et rappelle les plus belles heures du grand roman américain.


De son enfance dans un minuscule appartement du Queens d’après-guerre, fille unique d’un père camionneur idole du quartier, et d’une mère qui noyait sa mélancolie à grands coups de scotch, Eileen Tumulty a tiré un principe : toujours viser plus haut, ne jamais renoncer à sortir de sa condition.

Faire des études, décrocher un diplôme d’infirmière : Eileen s’accroche, s’endurcit. Tomber amoureuse, épouser Ed : Eileen s’envole, elle a de l’ambition pour deux. Donner naissance à un fils, trouver la maison de ses rêves, former une vraie famille : Eileen veut encore plus, encore mieux.

Et pourtant…
Les rêves ne sont-ils jamais que des rêves ?

Sentir la menace, redouter le pire, se révéler dans l’épreuve.

Et puis choisir de continuer à vivre, malgré tout.

 
Nous ne sommes pas nous-mêmes, Matthew Thomas, roman traduit de l’américain par Sarh Tardy, Ed. Belfond, janvier 2015, 796 pp
 
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Ne quittons pas ce tour d’horizon sans saluer deux premiers romans édités par la maison d’édition Diagonale
 
Quatrième de couverture (1/2)

Au creux du vide et de la solitude, une spirale naît, se lève au fond de la ville et annonce le typhon prochain. Cela commence par un rien, là-bas par un os, ici par un viel ami qui gratte à la porte de l’hôtel où travaille de nuit, Antal, le personnage principal du roman.

Ce conte urbain se distingue par le ton enlevé et l’humour de son auteur. C’est un roman léger et vif qui esquisse avec tendresse le portrait d’une génération marquée par l’ennui, avide de trouver sa place dans la société, quitte à perdre le contrôle pour renouer avec sa liberté et son instinct. 

La vie en ville, Damien Desamory, roman, Ed. Diagonale, décembre 2014, 216 pp
Quatrième de couverture (1/2)

« J’avais glissé une photo de Jackie Kennedy dans la poche de mon pantalon et le soir je la posais sous mon oreiller et je dansais, dansais jusqu’à en devenir ivre. Mes sœurs disaient : on est si fières de toi, Jack, tu deviendras le plus fortuné et le plus beau de la colline. (…) Le sol tournait et mes sœurs riaient fiévreusement et soudain il n’y avait plus de problèmes, il n’y avait jamais eu aucun problème et il n’y aurait jamais plus d’obstacle dans nos vies, je voulais que ce moment demeure éternel, dans la jouissance naïve de l’instant, que demain mes sœurs et moi nous sortions acheter de beaux vêtements et que nous vendions ensemble des œufs en étoile, aux carrefours de la ville. (…)

           -Un jour vous marcherez dans la rue avec moi, le visage découvert et nous danserons jusqu’à devenir fous.

          -Tu sais que ce n’est pas possible…

          -Il nous faudrait quitter l’Afghanistan. »

Dans une langue tendre et poétique, l’auteur nous livre une aventure hors du commun, inspirée de faits réels, et signe un premier roman vibrant, percutant.

 A cause de la folie des hommes, Jack de Kaboul épouse une vie paradoxale, tissée sur le fil. Résister jusqu’à embrasser une double vie, forcer le destin et s’enfuir, tel est le prix de la liberté pour certains enfants d’Afghanistan.

 Quand les ânes de la colline sont devenus barbus, John Henry, roman, éditions diagonale, mars 2015, 216 pp

 

2 commentaires sur “Quatrième de couverture (1/2)

  • maréchal 27 mars 2015 at 13 h 36 min

    pouvez-vous m’aider???????????,j’ai écrit un bouquin (receuil)il à été accepté par les éditions bénévent,,,mais je n’ai pu le faire publier ,fautes de moyen ,que me proposez vous ????le second est en route mais moins motivée du fait que le premier dort dans un tiroir ,merci beaucoup de me faire savoir le chemin à suivre pour éditer mon livre j’en rêve

  • Apolline Elter 29 mars 2015 at 16 h 14 min

    Merci pour votre commentaire; je ne m’occupe pas d’édition ni du parcours du combattant que suscite, en effet, l’édition d’un ouvrage… Je ne peux que vous souhaiter bon courage!
    Et surtout, d’éviter l’auto-édition!
    Bien cordialement,
    A Elter

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