Une femme que j’aimais

 

Une-femme-que-j-aimais.jpg

Faut-il réveiller les secrets des morts et révéler le secret-même de leur mort? 

Telle est la double  question qui parcourt et taraude le nouveau roman d’Armel Job.

Lorsque Claude Jansens, le narrateur et neveu d’Adrienne, découvre, dans la soirée du 26 mars 1994,  le corps inanimé de sa tante tant aimée, il est troublé: la sublime quinquagénaire souhaitait lui révéler un secret existentiel. Claude n’arrive pas à conclure à une mort naturelle …

S’ensuit alors une quête de vérité, une de ces enquêtes bien ficelées dont l’écrivain a le secret, qui de court-circuits en rebondissements, nous mène à sonder les sentiments des hommes qui ont approché cette femme mystérieuse, l’ont aimée – forcément –  et  l’âme de tous ceux qui se sont trouvés sur sa route.

Avec son style vif, efficace volontiers corrosif, Armel Job signe un thriller parfaitement ..addictif.

Apolline Elter

Une femme que j’aimais, Armel Job, roman, ed. Robert Laffont, février 2018, 300 pp