Ennio Morricone triomphe au Heyzel

Ennio Morricone triomphe au Heyzel

L’homme est austère, vêtu de noir et soutenu par un corset

Il a emporté d’allégresse et de standing ovations, hier soir, un palais 12 (Heyzel- Bxl) bondé, lui offrant en live et soutenu de quelque 150 instrumentistes et choristes et de la soprano Susanna Rigacci,  quelques-unes de ses (500) compositions.

Les Bon, la brute et le truand, Professionnel, Il était une fois dans l’Ouest, My name’s nobody, Marche de Sacco & Vanzetti … firent vibrer coeurs et choeurs avec en apothéose (et bissé) le poignant, sublime, indicible, mythique générique de Mission

Le sourire rare, ponctué d’un rictus de douleur, le Maestro, accueillit avec humilité la liesse d’une foule colorée

AE