Mar-dites-moi, Caroline Gravière

« L’habitude contractée dès l’enfance, ma chère mère,  de  te communiquer mes impressions de voyage, le pressentiment d’être au début de mes chagrins, la certitude  que mon réquisitoire sera volumineux, emportent quelquefois, tu le vois, ma plume dans des sentiers de traverse au lieu de suivre le fil dont va se tisser mon chagrin. »

Rendez-vous mardi prochain pour la chronique d’un roman épistolaire de hautes verve et facture :

Une Parisienne à Bruxelles,  Caroline Gravière, roman  épistolaire, 1875 – Ed Névrosée, coll. « Femmes de lettres oubliées, 2019,  116 pp

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *