De l’art de gâter nos enfants

Il faut laisser aux désirs le temps de mûrir, plutôt que de mourir de trop rapide satisfaction.

Ainsi en va-t-il des attentes et des fêtes : l’on se souvient des joies en proportion de ce qu’on les a désirées.

Apolline, Les pensées gâtées du lundi.