L’Appel sauvage

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On l’appelait naguère L’Appel de la forêt.  Nouvellement (re)traduit de l’américain par les bons soins de Frédéric Klein, le  roman de Jack London The call of the Wild  lui vaut grand succès lors de sa parution en 1903. Il  n’a rien perdu de sa prestance, de sa magistrale puissance. Une puissance évocatrice sublimement soutenue -et je pèse mes mots – par la lecture que l’acteur Jean Reno opère du texte.

Une leçon de lecture qui s’invite dans tous les pavillons….

Je vous engage à l’écouter.

Choyé par les bons soins de son maître, le juge californien Miller,  Buck mène la vie confortable, citadine et paisible d’un bon chien domestique. Issu du croisement entre un terre-neuve et une colley, le chien développe une intelligence humaine hors du commun.

Trahi, kidnappé par l’aide-jardinier de son maître, Buck est vendu à des trafiquants de chiens, violents,  peu scrupuleux et intègre les attelages de chercheurs d’or dans le Grand Nord canadien.  Il lui faudra alors renouer avec les instincts sauvages et loups qui sommeillent en lui pour se faire respecter de ses congénères, lutter pour sa simple survie. 

Un destin de chien qui personnifie le struggle for life propre à de nombreux êtres humains.

Un texte qui nous parle, aujourd’hui encore.

L’Appel sauvage, Jack London, roman traduit de l’américain par Frédéric Klein. Texte intégral lu par Jean Reno. Ed. Audiolib, 2017,   1 CD MP 3 – durée d’écoute: 3h 44