Mar-dites- moi, Françoise Sagan

La sublime lettre par laquelle Françoise Sagan (1935-2004) prend vis-à-vis de son amant (inconnu au régiment) des dispositions pour célébrer les « funérailles de leur amour »  se termine ainsi:

« Je ne te lègue plus rien. Tu le sais, il n’y a rien d’autre à léguer, rien de compréhensible, rien d’humain ; surtout rien d’humain, parce que moi, je t’aime encore, mais cela, je ne te le lègue pas. Je te le promets : je ne veux pas te revoir. »

Elle fut magistralement lue par Olivia Ruiz, lors de la soirée inaugurale du Festival de la correspondance de Grignan, le mardi 2 juillet

Je vous invite à lire le compte rendu de cette soirée, sur votre site préféré, en date du 20 juilllet

A Elter

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