Cher Albert Camus

Cher Albert CamusNovembre vous ouvrait grandes, les portes du Pavillon et multiples tables rondes qui nous permirent d’ajouter à la joie de la connaissance, celle de la reconnaissance.  Préférant la vie à la doctrine, sincère dans vos nombreux engagements, éternel adolescent, vous laisserez en nos esprits l’empreinte de la solidarité, valeur existentielle qui motiva vos actions, votre vie

Empruntons à vos carnets, la conclusion d’un mois de cours et de rencontres fabuleuses avec des publics variés âgés de 17 à 87 ans:

«  Si j’avais à écrire, ici, un  livre de morale, il aurait 100 pages et 99 seraient blanches.

Sur la dernière, j’écrirais : «  Je ne connais qu’un seul devoir et c’est celui d’aimer. » (Carnets 1957)