Week-end spécial Quatrième de couverture (1/3)

livres-20pile1.jpg Je vous annonçai une année 16-sissante.

De belles lectures,  la rentrée 

de janvier

l’est….

Les ouvrages s’accumulent, je ne peux les lire tous…

Il est grand temps de vous en donner l’argument

Issu des sites des éditeurs

De parutions de janvier, février

A mes yeux échappées.

 

Publications de janvier

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« Lorsque, venue de Guadeloupe, Sybille arrive à Paris avec son jeune fils Marcello, elle trouve hospitalité et affection auprès de Lila. Extravagante et merveilleuse Lila, tour à tour cocasse et pathétique, hantée par trop de souvenirs… Tandis que Sybille songe aux hommes disparus de sa vie – son père, son petit-frère mort-né –, Lila se souvient de son amour pour Henry, fils d’une cuisinière noire et d’un riche héritier blanc des Caraïbes anglaises, rencontré dans la liesse de la Libération.

Marcello grandit entouré des fantômes des hommes qui ont traversé la vie des deux femmes. Lorsqu’il apprend que son père est encore en vie, il décide, contre la volonté de sa mère et de Lila, de rejoindre la Guadeloupe pour le retrouver. Après son départ, Lila n’aura plus qu’une idée en tête : se rendre en Amérique et retrouver son fils.

D’un bord à l’autre de l’océan, d’un bout à l’autre du temps, malgré les dénégations, subsiste pourtant l’amour, cette âme prêtée aux oiseaux qui, de contes en légendes et de cœur en cœur, se rit des interdits en dénouant les jeux du destin et des tragiques vanités des hommes. »

L’âme prêtée aux oiseaux, Gisèle Pineau, roman, Ed. Philippe Rey, janvier 2016, 220 pp

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« Libre transposition dans le San Francisco d’aujourd’hui du Songe d’une nuit d’été, le roman de Chris Adrian est un livre surprenant, où réalité et féerie se télescopent pour interroger la nature exacte de l’amour.

Henry, Will et Molly ne se connaissent pas mais ils ont quelque chose en commun. Tous trois viennent de perdre un être cher dans la mort ou la rupture. Un soir d’été, tandis qu’ils se rendent à une soirée, ils s’égarent dans Buena Vista Park sans savoir que ce lieu est devenu le refuge secret de Titania et Obéron, les souverains du royaume légendaire immortalisés dans la pièce de Shakespeare, inconsolables depuis la mort de leur fils… Ensemble, ils vont vivre une nuit à nulle autre pareille.

À l’image d’Obéron, doté du pouvoir de sonder le cœur humain, Chris Adrian explore la puissance et le mystère de l’amour, se jouant de la frontière entre mythe et réalité, grâce et gravité. Il réussit un roman drôle et émouvant, d’une inventivité rarement égalée. »

Une nuit d’été, Chris Adrian, roman traduit de l’anglais (USA) par Nathalie Bru, Ed. Albin Michel, coll. « grandes traductions », janvier 2016, 450 pp

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« Lola ne dort plus depuis l’annonce d’une boule sous son sein. Alors elle sort de chez elle en pleine nuit. Les pavés de sa ville l’appellent. Une façon de se recentrer, de faire le point et de se préparer à des jours douloureux. De rencontres en rencontres, Lola voyage dans les quartiers d’une ville comme dans les coulisses de sa féminité, de ses orages anciens, de ses déchirures mais surtout, elle voyage dans un désir de plus en plus grand de vivre, de rire, de grandir !

La balade des pavés, c’est la balade d’une femme dans les couloirs d’un temps qui commence à compter. C’est la balade du courage et de l’amour. Ça pourrait être votre histoire. »

La balade des pavés, Sylvie Godefroid, roman, préface de Barbara Abel, Genèse éditions, janvier 2016,  176 pp

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« Qu’il s’agisse d’un «consultant en disparition» à la rencontre de lui-même, des chimères sexuelles d’un vendeur de sauce bolognaise, de la fatalité d’avoir une plastique trop parfaite ou d’un sous-doué du cœur convaincu de dénicher l’âme sœur au pays des toucans, les personnages de ces nouvelles se retrouvent piégés par un destin qui les dépassent et leur désenchantement vire à la pantalonnade ou au drame.

 Malgré les illusions perdues et les sentiments décatis, ils préfèrent se brinquebaler dans le périlleux exercice de la vie en tentant d’amadouer leurs propres fêlures.

 Tantôt caustiques, tantôt cruelles, parfois tendres, ces histoires sont le miroir d’une société qui se cherche, désespérément. »

Comment voir la vie en rose quand on est daltonien, Daniel Curtis, roman, Ed. Avant-Propos, janvier 2016, 156 pp

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« Ils ont trente ans, ils sont jumeaux et vont se marier en même temps, dans un an. D’ici là leur vie va être bouleversée, celle de leurs parents et de leurs beaux-parents aussi. Pas si simple de former un couple quand d’autres se défont, quand on a été perçu toute son enfance comme une seule entité, quand on est confronté à ce qui restreint le désir de liberté.

Au-delà du mystère de la gémellité et du mariage, Marianne Rubinstein explore avec justesse les rapports familiaux et générationnels dans une société qui croit pouvoir passer sous silence ses peurs les plus secrètes. Elle construit une œuvre singulière où alternent récits à l’ombre de la Shoah et romans à l’épreuve du temps dont Les arbres ne montent pas jusqu’au ciel.

Nous sommes deux, Marianne Rubinstein, roman, Ed. Albin Michel, janvier 2016, 286 pp

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Evénement ! Après trente-sept ans, Haruki Murakami autorise enfin la publication de ses deux premiers romans, Écoute le chant du vent, prix Gunzo 1979, et Flipper, 1973, tous deux totalement inédits.

J’écrivais toujours sur la table de la cuisine, tard dans la nuit, jusqu’au petit matin. C’est la raison pour laquelle je nomme ces deux romans « écrits sur la table de la cuisine ». Avec beaucoup d’amour et une certaine gêne…
Pour rien au monde je ne voudrais les changer. Un peu comme de très vieux amis. Peut-être que je ne les rencontrerai plus, que je ne leur parlerai plus, mais il est certain que jamais je ne les oublierai. Ils sont précieux pour moi, irremplaçables. Ils m’encouragent, me réchauffent le coeur.

Après trente-sept ans, Haruki Murakami autorise enfin la publication de ses deux premiers romans, Écoute le chant du vent, lauréat du prestigieux prix Gunzo 1979, suivi de Flipper, 1973, tous deux jusqu’ici inédits en France. Enfin traduits et réunis en un seul volume, précédés d’une préface de Murakami qui en explique la genèse, ils composent les deux premiers tomes de la « trilogie du Rat », que clôt La Course au mouton sauvage.