L’homme qui en savait trop

9782221156193.jpg « Il n’est jamais trop tard pour la vérité. Alan mérite cette reconnaissance posthume »

Retrouvé mort en 1954 dans sa chambre d’hôtel, une pomme – empoisonnée au cyanure- croquée,  laissée à  son chevet, Alan Turing est Le génial inventeur de l’ordinateur. Le logo bien connu d’Apple serait une allusion directe mais non assumée à ce drame.

Il a aussi aidé les services secrets alliés, durant la guerre à décoder les messages secrets allemands, cryptés sous le nom d’ Enigma et à déjouer partant les plans de l’ennemi.

Portant ces faits avérés à la rédaction d’un roman futuriste, d’espionnage et de réhabilitation historique, Laurent Alexandre et David Angevin, allient médecine et journalisme d’investigation scientifique pour revisiter le portrait – malmené- du génie des mathématiques, sujet britannique de sa Royale Majesté

Un roman qui se dévore tel un thriller

AE

L’homme qui en savait trop, Laurent Alexandre et David Angevin, roman, Ed. Robert Laffont, janvier 2015, 336 pp