Les pensées « pente et côte » de la Marquise

« C’est une chose plaisante à observer que le plaisir que l’on prend à parler, quoique de loin, à une personne que l’on aime, et l’étrange pesanteur qLes pensées "pente et côte"  de la Marquiseu’on trouve à écrire aux autres. »*

Si vous le dites, Marquise…

*Madame de Sévigné, Correspondance (15 mars 1671) – Gallimard – La Pléiade -Texte établi et annoté par Roger et Jacqueline Duchêne