Modestie félicienne

 

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 L’ami

Fély…

Mais oui,

il me séduit,

brillait plus par son libre esprit

que par sa modestie.

Ce n’est pas injure que de le constater

 

Il affirmera cependant , en une lettre adressée  à Emile Bergerat ( ni datée, ni localisée) 

 «  J’ai eu cette singulière fortune, d’être moi, rien du tout & personne & n’ayant point mérité de l’être, presqu’un confident des derniers jours, de François Millet & de Baudelaire ! »

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