Et te voici permise à tout homme

théière high tea.jpg » Ce que je perdis, ce fut lui. Mon ami et mon amant, l’ami charmant, l’ami envoûtant. Je ne sais plus qui rêve et qui ment. Le temps passant écrasa mon coeur palpitant. Je contemple ces instants, les plus beaux, les plus grands, où il disait, je t’attends. Le son de sa voix déchire mon coeur. J’ai perdu un ami et un amant. L’ami se désolant, l’amant se lassant; qui rendra mon coeur vivant? « 

Et te voici permise à tout homme, Eliette Abécassis, roman, Albin Michel, août 2011, 198 pp, 17 €