Un beau diable

Nos estivales des quatrièmes de couverture se poursuivent, ce jeudi, avec l’argument d’un roman engageant, puisé sur le site de l’éditeur

« Un physique enviable a valu au débutant Florian Prairial d’interpréter le rôle-titre d’Un beau diable, premier film d’inspiration fantastique d’un jeune réalisateur. Le succès d’estime du film conduit Florian à rencontrer Fallen, un homme d’affaires mordu par le démon du cinéma.
Richissime, mais totalement inconnu de ce milieu, Fallen propose à Florian d’interpréter à nouveau Lucifer, cette fois dans une grandiose adaptation du poème inachevé de Victor Hugo, La Fin de Satan, qu’il veut financer et mettre en scène.
Florian hésite : il craint de s’enfermer dans une image préjudiciable à sa carrière en campant à nouveau un rôle aussi typé, et s’inquiète surtout d’une sorte de machination qui semble s’ourdir autour de lui quand sa mère et ses deux maîtresses sont successivement approchées par Fallen.
Cependant la proposition est tentante, car les moyens sont illimités. Florian signe le contrat faustien avec l’inquiétant Fallen. Alors qu’il s’apprête à le poster, un autre projet émanant d’une maison de production classique l’amène à manquer à sa parole vis-à-vis de Fallen.
Dès lors, une série d’événements inquiétants et bientôt terrifiants va faire de sa vie un cauchemar dont il s’éveillera désenvoûté/désenchanté… »

Un beau diable, Georges-Olivier Châteaureynaud, roman, Ed Grasset, mars 2025, 288 pp

 

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